samedi 8 avril 2017

5ème jour

C'est le départ pour la Roche-sur-Yon

Après une semaine bien remplie, riche en émotion et en activités diverses et variées, il faut rentrer. 


Cliquer pour la vidéo ==> Vidéo du 5ème jour

jeudi 6 avril 2017

4ème jour

Visite d'exploitation de vache de race Blonde d'aquitaine chez Fabien Tardos, jeune agriculteur installé depuis 2009 sur 50ha de prairie naturelle, reprise d'exploitation de son père.
Une dizaine d'animaux sont en production laitière pour la fabrication de fromage en vente directe à partir du mois d'avril. En effet, en hiver elles ne produisent pas de lait car Fabien a une activité en station : dameur de pistes de 18h à 22h par beau temps mais de 1h à 10h du matin en cas de neige ! 
Ses vaches à viande partent en estive à partir du mois de mai pour redescendre en octobre.





A midi, rendez-vous pour un pique-nique au bord du lac de Loudenvielle, sous un soleil resplendissant à jouer au foot, à regarder les parapentes atterrir, à flâner, faire du pédalo, ...




cliquez pour la vidéo ==> vidéo le matin du 4ème jour

Un après-midi rafraîchissant à bord de rafts.

Une découverte riche en émotion, pour la plupart de nous.
De nombreux fous rires, aussi mouvementé que l'eau froide (6°C) de la rivière. Des arrosages, des jetés à l'eau, quelques manœuvres plus ou moins bien maîtrisées.
Des moniteurs plaisantins... mais surpris à la résistance au froid des jeunes qui, c'est le cas de le dire, se sont jetés à l'eau.

cliquez pour la vidéo ==> Vidéo l'après-midi du 4ème jour












mercredi 5 avril 2017

3ème jour

Aujourd'hui, découverte de l'agriculture de montagne.

Ce matin, visite et échanges avec Sébastien, éleveur de brebis viande et de Limousine, à Loudenvielle. Nous avons pu découvrir les technique d'élevage en lien avec les contraintes climatiques. Par exemple : une année sèche -2016- a entraîné une seule coupe de foin ! l'obligeant à acheter du fourrage à l’extérieur.) et les animaux 6 mois en étable avant le retour dans les pâturages à partir du mois de mai.
Il expérimente, avec l'INRA, de nouvelles races : des veaux de petit gabarit mais à croissance rapide.
Il a le label "Veau élevé sous la mère"
Il possède 3 bergeries pour abriter ses 250 moutons (viande) de race tarasconnaise adaptée à la région. Elles produisent aussi bien du lait que de la viande.




Après de repas, direction la fromagerie de Jean-Louis et Evelyne Gaillard éleveurs de brebis et transformateurs du lait en fromage en vente directe.

Nous avons donné un coup de main à la remise en état de clôtures après la période d'hiver et la passage des cerfs à travers les parcelles...


Les garçons en plein travail...
Heureusement que les filles montrent l'exemple
Pour remercier les jeunes de leur aide, une tomme de brebis à déguster ce soir...

Super journée en compagnie d'éleveurs passionnés par leur métier.


cliquez pour la vidéo ==> vidéo du 3ème jour


mardi 4 avril 2017

2ème jour

Une journée bien fatigante
Nous avons rencontré ce matin, Dominique Berger, éleveur d'une soixantaine de brebis à viande. Il travaille également au déneigement en hiver et conducteur d'engin de chantier.
Dominique est un personnage passionnant car il connait toute l'histoire du pastoralisme et de la vallée depuis le XIII° siècle.
Les paysans de la vallée ont été les premiers à être propriétaires de leurs terres (ainsi que d'autres droits exceptionnels pour l'époque) en échange de défendre ce territoire.

Après une tartiflette copieuse, 10 à 12 km de marche en montagne : ça monte ! ça descend ! ça remonte ! ça redescend : les jambes ont souffert.
Cette ballade, dirigée par un guide très sympatrique, Michel Chazotte, a été agrémentée de fous rires et de batailles de boules de neige (bis).
Il nous a fait découvrir et observer des rapaces, biches, pelotes d'aigle tout en nous faisant partager ses connaissances. 
Michel est également maire de son village, jardinier de la montagne et apiculteur. 
Goliath, un ours de 250kg, s'est servi, cet automne, des ruches de Michel comme garde manger pendant une semaine. Quel délice ! Donc pas de miel à rapporter à La Roche !

Un goûter requinquant chez Josette, à base de crêpes fourrées aux pommes a redonné du moral et des forces aux troupes prêtes à repartir pour de nouvelles aventures.

cliquer pour la vidéo ==> Vidéo du 2ème jour








lundi 3 avril 2017

1er jour...

Après un long voyage jusque dans les Pyrénées, nous voila à destination.
Quelques plaques de neige pour une bataille acharnée de boules de neige et un magnifique soleil dès l'arrivée.

A peine descendus du car, une marche à travers la montagne pour sa découverte, accompagnés d'Elisabeth (éducatrice nature). Elle nous a fait découvrir les paysages (la faune et la flore) et leurs évolutions à travers les différentes activités humaines (agricoles, touristiques, ...).
Les échanges ont été suivis avec attention : Le développement de l'activité touristique tout en maintenant l'agriculture. En effet, cette région a pu maintenir une agriculture grâce à l'activité touristique mais que quelques règles élémentaires de bon sens devaient être respecter. elles sont rappelées sur des panneaux : fermer les barrières, ne pas s'approcher des animaux, etc.
Elle nous parlé du problème des chiens errant qui sont responsables, tous les ans, de la perte de très nombreuses brebis dans la région. 
Nous avons découvert également que les vautours (à la base des charognards) s'attaquaient à des animaux diminués physiquement mais vivants ! En effet les normes imposent aux agriculteurs d'envoyer les animaux d'élevage morts à l'équarrissage et de ne plus les laisser comme repas dans la montagne.





Après cette marche très instructive, retour au centre pour s'installer dans les chambres et se régaler d'un bon repas.


Céline nous offre un concert privé au piano.


à demain pour de nouvelles aventures.

cliquez pour la vidéo ==> Vidéo du 1er jour



vendredi 31 mars 2017

Le lieu d'hebergement

le Centre de Montagne de Germ nous accueille à partir de ce lundi pour une semaine.
Nous serons hébergés face à la montagne. Un cadre magnifique et une vue dégagée s'offrent à nos yeux.
Toutes les conditions sont réunies pour un stage collectif réussi.

http://www.germ-louron.com/




Préparation au voyage

Afin de limiter le coût du stage collectif, les jeunes ont mis en place différentes actions avec par exemple la vente de jus de pommes.

La mise en place des bouteilles vides sur la chaine de production puis récupération des bouteilles (très chaudes ! attention ça brule !) dans des chariots de transport vers les voitures.

Il a fallu stocker environ 3000 bouteilles en attendant qu'elles refroidissent...

Puis chaque jeune a vendu en moyenne, 80 bouteilles...

Après quelques semaines le stock a bien diminué...